RETOUR

  The Ultimate Proof Of 
  Bush Regime's Course
  From Archaeos Prime
  chronopilot@yahoo.com
  3-22-3 

English version
 

          BUSH - HITLER, même combat???
 
 

A tous ceux qui se demande où cette Guerre contre le Terrorisme nous conduit, pourquoi elle a commencé, ceci apportera un réponse à vos questions.

A tous ceux qui doute que l’histoire puisse se répéter, cela les soufflera.

Ce qui suit est documenté par des faits historiques qui peuvent facilement se trouver n’importe où (…) Cela montrera, à partir de ce que nous savons déjà, quel est le but ultime de la présente et future course du régime de Bush. La corporation gouvernementale sous laquelle nous nous trouvons actuellement a un plan, et le voici, soumis à votre discernement, tiré des annales obscures de l’histoire, des parallèles effrayants avec la présente crise américaine.

Depuis le 11 septembre jusqu’à la complicité anglaise dans cette guerre, depuis la particularité personnelle de Bush jusqu’à la censure du Congrès des Dixies Chicks (oisillons du Sud des US.. faucons), tout s’est passé jusque là comme avant, dans le même ordre. Quoique cela soit arrivé il y a 70 ans, lire cet article, c’est comme lire l’exact détail de notre histoire depuis le 11 Septembre.

Simplement comprendre cela, c’est plus effrayant que tout ce que Bin Laden ne nous a jamais fait.

Si après avoir lu cela vous n’êtes pas encore capables d’accepter les faits de ce qui est en train d’arriver autour de nous, alors vous êtes vraiment enfermé dans un monde illusoire et c’est sans espoir.

Mark Wyckstrom

                                   *************************************
 

Lorsque la démocratie échoue – Les avertissements de l’Histoire
Par Thom Hartmann
17 Mars 2003-03-23
 
 

Le 70ème anniversaire n’a suscité aucun intérêt aux Etats Unis et a à peine été rapporté par la plupart des médias. Cependant, les allemands se souviennent parfaitement de ce jour d’il y a soixante dix ans, le 27 février 1933. Ils ont célébré l’anniversaire en se joignant aux manifestations pour la paix qui ont mobilisé les foules autour de la planète.

Tout a commencé lorsque le gouvernement, au cœur d’une crise économique mondiale, reçu des informations sur une imminente attaque terroriste. Un idéologue étranger avait lancé une attaque contre un célèbre nouveau bâtiment. Mais les médias avaient pratiquement ignoré ses efforts. Les services de renseignements le savaient ; cependant, c’étaient là des idées bizarres  mais qui finalement se réaliseront. (Les historiens débattent encore pour savoir s’il y avait des complicités parmi les agents des services de renseignement qui auraient pu apporter un soutien aux terroristes. Les recherches les plus récentes semblent indiquer que non.)

Cependant, les mises en garde de ceux chargés d’enquêter avaient été ignorées dans les plus hautes sphères de l’Etat, partiellement parce-que le gouvernement était focalisé ailleurs ; L’homme qui prétendait être le chef de la nation n’avait pas été élu par une majorité de votes, et la majorité des citoyens disait qu’il n’était pas légalement élu à ce poste. Certains disaient qu’il était un simple d’esprit, un personnage de bande dessinée qui voyait les choses en terme de noir et blanc et qui n’avait pas l’intelligence pour comprendre les subtilités liées à la conduite d’une nation dans un monde complexe et international. Son usage grossier du langage - reflétant ses origines politiques d’un état du sud – aussi bien que sa rhétorique nationaliste simpliste et souvent enflammée, offensaient les aristocrates, les gouvernants étrangers et l’élite bien-pensante du gouvernement et des médias. Lorsqu’il était jeune, il s’était joint à une société secrète portant un nom à consonance occulte et aux bizarres rituels d’initiation qui utilisaient des crânes et des ossements humains. 

Néanmoins, il savait que le terroriste était sur le point de frapper (quoique ne sachant pas où et quand), et il avait déjà préparé sa réponse. Lorsqu’on vint lui annoncer que le plus prestigieux bâtiment de la Nation avait été incendié, il vérifia que c’était bien l’œuvre du terroriste, puis se précipita sur le devant de la scène pour tenir une conférence de presse.

« Vous êtes aujourd’hui les témoins d’une grande époque de l’histoire », proclama t-il en se tenant devant le bâtiment détruit par le feu et entouré par les médias.  « Cet incendie » dit-il d’une voix tremblante d‘émotion, « est le commencement ». Il utilisa cet événement – « un signe de Dieu » comme il l’appela – pour déclarer une « guerre totale contre le terrorisme et ses supporters idéologiques », un peuple, disait-il, qui a ses origines au Moyen-Orient et qui fonde les motivations de ses œuvres mauvaises dans leur religion.

Deux semaines plus tard, le premier centre de détention pour terroristes était construit à Oranianberg pour enfermer les premiers suspects alliés du terrorisme. Dans un élan national de patriotisme, l’emblème du leader se trouvait partout, même imprimé en grand dans les journaux pour être placardé.

Dans les quatre semaines qui suivirent l’attentat terroriste le chef de la nation désormais devenu célèbre modifiait la législation – au nom du combat contre le terrorisme et de la lutte contre la philosophie qui, disait-il, le sous tendait. – supprimant les garanties constitutionnelle pour la libre expression, la vie privée et de l’habeas corpus. La police pouvait alors intercepter les courriers et mettre sous écoute les communications téléphoniques. Les personnes suspectées de terrorisme pouvaient être emprisonnées sans accusations spécifiques et sans avoir le droit de recourir à un avocat. La police pouvait pénétrer dans les maisons sans avertissement en cas de soupçon de terrorisme.

Pour obtenir son patriotique « Décret de protection du Peuple et le l’Etat » en passant sur les objections des législateurs et des civils qui s’inquiétaient de la défense de leurs libertés, il donne son accord pour une clause qui limitait à 4 ans ce décret. Si l’urgence nationale provoquée par l’attaque terroriste se dissipait, alors la liberté et les droits des citoyens seraient rendus au peuple et les pouvoirs policiers restreints. Les Législateurs diront plus tard qu’ils n’avaient pas eu le temps de lire le décret avant le vote.

Immédiatement après le passage de « l ’Acte contre le terrorisme » ses agences de police fédérales ont mis en application leur programme et arrêté les personnes suspectes. Elles ont été détenues sans pouvoir accéder à un avocat ou à un Cour d’appel. Durant la première année, seulement quelques centaines de personnes furent emprisonnées, et ceux qui s’en scandalisaient furent largement ignorés par la presse qui craignait d’offenser le pouvoir et ainsi de perdre les faveur du leader qui était devenu très populaire. Les citoyens qui critiquaient le leader en public – et ils étaient nombreux – se sont vite retrouvés confrontés à la police et à ses nouveaux pouvoirs assurés par les bâtons, les gaz, et la prison. Ou alors cette opposition était confinée dans des zones éloignées où les discours des opposants auraient un impact limité. (Entre temps, Hitler dispensait presque chaque jour ses enseignements en public, apprenant à contrôler sa tonalité, ses gestes et ses expressions faciales. Il devint un orateur très compétent.)

Au cours du premier mois qui suivit l’attaque terroriste, sur le conseil d’un conseiller politique, il commença à utiliser de plus en plus usuellement des paroles obscures. Il voulait éveiller un sentiment de « race supérieure » parmi ses concitoyens, ainsi, au lieu de citer le pays par son nom, il commença à se référer à la patrie (Homeland), une phrase promue publiquement dans l’introduction d’un discours enregistré pour le célèbre film de propagande de Leni Riefenstahl « Triumph Of The Will. » Comme il l’espérait, le cœur de son peuple se gonflait d’orgueil et le début d’un sentiment de « nous-contre-eux » était semé. Notre terre c’était « la » patrie (homeland), pensaient les citoyens : Toutes les autres n’étaient rien d’autre que des terres étrangères. Il suggérait : Nous sommes le « véritable peuple », les seuls dignes de la nation. Si des bombes tombent sur d’autres, si les droits de l’homme sont violés pour que nous vivions mieux, cela n’a que peu d’importance pour nous.

Jouant avec ce nouveau nationalisme, et exploitant un désaccord avec les français concernant l’accroissement de son militarisme, il argumentait que tout corps international qui n’agissait pas d’abord et avant tout dans le meilleur intérêt de sa propre nation n’était ni approprié, ni utile. C’est ainsi qu’il retira son pays de la « Ligue des Nations » (précurseur de l’ONU) en octobre 1933. Il négocia ensuite un accord séparé d’armement naval avec Anthony Eden (Royaume Uni) pour créer une élite militaire dominante dans le monde.

Son Ministre de la Propagande orchestra une campagne pour assurer le peuple qu’il était un homme profondément religieux et que ses motivations s’enracinaient dans le christianisme. Il proclama même la nécessité d’un renouveau de la foi chrétienne dans la nation, ce qu’il appela « une nouvelle Chrétienté ». Tout homme dans son armée grandissante devait porter un emblème de = ceinturon sur laquelle était écrit « Dieu avec nous »  ("Gott Mit Uns" ) et beaucoup d’entre eux pensaient sincèrement que c’était vrai.

Dans l’année qui a suivi l’attaque terroriste, le chef de la Nation a déterminé que les différentes forces de Police et agences fédérales de la nation manquaient d’une communication claire et d’une coordination globale de l’administration nécessaire pour régler les menaces de terrorisme auxquelles la nation était confrontée. Ceci concernait particulièrement les citoyens de descendance moyen-orientale soupçonnés d’être des terroristes en puissance et des sympathisants du communisme, ainsi que différents « intellectuels » et « libéraux ». Il proposa qu’une seule agence nationale soit crée pour protéger la sécurité de la patrie, sous la direction d’un seul chef, pour consolider les actions de dizaines de polices, douanes et agences d’investigation jusque là indépendantes.

Il nomme l’un de ses plus fidèles associés à la tête de ce nouvel organisme, le « Bureau Central de la Sécurité » pour la patrie (Central Security Office). Il donne à ce Bureau un rôle équivalent aux organismes les plus importants.

Son porte-parole pour la presse notait que, depuis l’attaque terroriste, « la radio et la presse sont à notre disposition » Ces voix qui mettaient en question la légitimité du chef de la nation ou qui soulevaient des questions sur son passé à partir de là s’étaient évanouies alors que le Bureau Central de Sécurité faisait de la publicité pour encourager les gens à dénoncer par appel téléphonique tout ce qu’ils trouvaient suspect chez les voisins.

Ce programme a été un succès à tel point que les noms de quelques uns de ceux qui avaient été dénoncés ont été bientôt publiés sur les ondes des radios. Ceux qui étaient dénoncés incluaient souvent des politiciens d’opposition et des célébrités qui osaient parler, cibles privilégiées de son régime et des médias qu’il contrôlait à présent par l’intimidation et dans lesquels les alliés détenaient des actions.

Pour consolider son pouvoir, il en arriva à la conclusion que le gouvernement à lui seul ne suffisait pas. Il lui fallait atteindre l’industrie et forger des alliances, installer des personnalités de l’industrie à des postes clef. Une masse d’argent prise sur le budget du gouvernement allait dans les coffres d’associés pour combattre les terroristes Moyen Orientaux qui se cachaient au sein de la nation et pour préparer des guerres à l’étranger. Il encourageait de grandes entreprises amies à acquérir des parts dans les médias et d’autres dans le secteur de l’industrie dans tout le pays, surtout parmi celles que possédaient les Moyen Orientaux suspectés. Il construisit ainsi une puissante alliance avec l’industrie. L’un de ses associés récupéra un contrat de plusieurs millions pour construire le premier immense centre de détention des ennemis de l’Etat. Bientôt d’autres suivraient. L’industrie était florissante.

Mais après un temps de paix suivant l’attaque terroriste, des voix dissidentes s’élevèrent à nouveau au sein et à l’extérieur du gouvernement. Les étudiants avaient commencé un programme d’action s’opposant à lui (plus tard connu sous le nom de Société Rose Blanche (White Rose Society), et les chefs des nations alentour  critiquaient sa rhétorique belliciste. Il avait besoin d’une diversion, quelque chose pour orienter le peuple loin du croonisme d’état qui était en train d’être dévoilé. S’élevèrent également des questions sur sa possible illégale accession au pouvoir, aussi bien qu’au sujet des libertés civiles et de ceux qui avaient été emprisonnés sans jugement et sans pouvoir être défendus par un avocat et qui ne pouvaient même pas avoir de contact avec leurs familles.

Avec son numéro 2 – maître de la manipulation des médias – il commença une campagne pour convaincre le peuple de la nation qu’une guerre limitée était nécessaire. Un autre pays hébergeait de nombreux suspects Moyen-Orientaux, et même si ses liens avec le terroriste qui avait incendié le plus important bâtiment de la nation était ténu au mieux, ce pays possédait les ressources dont leur nation avait le plus grand besoin pour posséder suffisamment d’espace vital et maintenir la prospérité.

Il convoqua une conférence de presse et délivra publiquement un ultimatum au chef de la nation concernée, provoquant une protestation internationale. Il réclama le droit de frapper préemptivement  en légitime défense , et les nations européennes – d’abord -  le critiquèrent pour cela, pointant du doigt que cela avait été une doctrine que seules les nations du passé voulant établir un empire mondial avaient utilisé, comme César et Alexandre.

Cela prit quelques mois et d’intenses débats internationaux aussi bien que de pressions exercées sur les pays d’Europe, mais, après qu’il eut personnellement rencontré le leader de la Grande Bretagne, il obtint finalement un accord. Après que le conflit eut éclaté, le Premier Ministre Chamberlin déclara au peuple anglais que accepter cette nouvelle doctrine de la première frappe apporterait « la paix à notre temps ».

Ainsi Hitler annexa l’Autriche dans un temps record, soulevant une vague de soutient populaire comme les chefs l’obtiennent si souvent en temps de guerre. Le gouvernement autrichien fut limogé et remplacé par un nouveau gouvernement favorable à l’Allemagne, et les compagnies allemandes commencèrent à s’emparer des ressources autrichiennes.

Répondant à ceux qui critiquaient cette invasion, Hitler déclara : « Certains journaux étrangers ont écrits que nous sommes tombés sur l’Autriche de manière brutale. Je peux simplement vous dire que même morts ils ne s’arrêteront pas de mentir. Ma bataille politique m’a obtenu plus d’amour de la part de mon peuple, mais lorsque j’ai passé l’ancienne frontière (de l’Autriche) ils m’ont manifesté un tel élan d’amour que je n’en avais jamais éprouvé de tel. Nous ne sommes pas venus en dictateurs, mais en libérateurs. »

Pour faire face à ceux qui se rebellaient contre ses règles, écoutant ses conseillers politiques, lui et ses dévoués de la presse commencèrent une campagne pour mettre sur le même niveau sa politique, sa personne et le patriotisme et la nation. L’unité nationale est essentielle, disait-il, pour d’assurer que les terroristes et ceux qui les supportent ne pensent pas qu’ils peuvent réussir à diviser la nation ou affaiblir sa volonté. En temps de guerre, il ne peut y avoir « qu’un seul peuple, une seule nation, et un seul commandant en chef ». ("Ein Volk, ein Reich, ein Fuhrer"). Ainsi, les médias qui le soutenaient commencèrent une campagne nationale accusant ceux qui critiquaient sa politique d’attaquer la nation elle même. Ceux qui s’opposaient à lui étaient taxés d’ « anti-allemands » ou de « mauvais allemands » et on suggéra qu’ils aidaient les ennemis de l’Etat en refusant de supporter les hommes vaillants en uniforme. Ce fut l’une de ses manœuvres les plus efficaces pour étouffer la rébellion.

Néanmoins, une fois que la « petite guerre » d’annexion de l’Autriche fut accomplie, avec succès et en peu de temps, et que la paix fut revenue, des voix d’opposition se firent entendre à nouveau dans le pays. La publication, presque chaque jour, de nouvelles concernant le danger représenté par les cellules communistes ne suffisait pas pour faire se lever la populace et totalement supprimer la dissidence. Une guerre totale était nécessaire pour détourner l’attention du public des critiques grandissantes au sujet de la disparition des opposants, des violences contre les libéraux, les juifs, et les leaders syndicaux aussi bien que contre le développement du capitalisme qui produisait des empires dans les milieux financiers mais menaçait le niveau de vie de la classe moyenne.

Une année plus tard, en une semaine, Hitler envahit la Checkoslovaquie. Le pays était désormais en guerre, et les dissidents internes furent supprimés au nom de la sécurité nationale. Ce fut la fin de la première expérience démocratique de l’Allemagne.

Alors que nous concluons cette revue historique, il y a quelques leçons à retenir.

 27 Février 2003: 70 ème anniversaire de l’incendie terroriste du Parlement Allemand (Reichstag) par Marinus Van Der Lubbe. Ce fut l’acte terroriste qui catapulta Hitler comme chef d’Etat légitime et permit les modifications des Constitutions allemandes. 

Au moment où Hitler s’empara de l’Autriche, rapidement et avec succès, il était le plus aimé et le plus populaire des chefs dans toute l’histoire de la nation. Il n’y eu presque pas de sang allemand versé. Acclamé à travers le monde, il fut plus tard « l’Homme de l’année » du Times Magazine.

La plupart  des américains se rappellent de son service pour la Sécurité de la Nation (Homeland Security) connu sous le nom de Reichssicherheitshauptamt  et de son SchutzStaffeln simplement à cause de ses fameuses initiales : SS.

Souvenons-nous également que les allemands ont développé une nouvelle forme de guerre très violente qu’ils ont appelé : « Guerre éclair » (blitzkrieg), laquelle, tout en générant d’énormes pertes civiles, produisaient une puissante "shock and awe" parmi les dirigeants de la nation selon les auteurs du livre "Shock And Awe" publié en 1996 par la National Defense University Press. 

Réfléchissant sur cette époque, The American Heritage Dictionary (Houghton Mifflin Company, 1983) nous a laissé cette definition de ce que la démocratie allemande est devenue par l’alliance étroite d’Hitler avec les Compagnies les plus importantes d’Allemagne et sa politique qui consistait à utiliser la guerre pour garder le pouvoir : fascisme. Un système de gouvernement qui exerce une dictature d’extrême droite, typiquement en unissant l’Etat et le leadership du monde des affaires, associés à un nationalisme belliciste.

Aujourd’hui, alors que nous sommes confrontés à une crise financière et politique, il est bon de nous souvenir que les ravages de la Grande Depression ont frappé l’Allemagne et les Etats-Unis de la même manière. Dans les années 30 cependant, Hitler et Roosevelt ont choisi des chemins bien différents pour ramener leurs pays à la prospérité et la puissance.

 La réponse allemande fut d’utiliser le gouvernement pour donner le pouvoir aux sociétés et récompenser les individus les plus riches de la société. Les sociétés nationalisées ont été privatisées. Les dissidents étouffés. Les citoyens privés de leurs droits. Une illusion de prospérité était créée à travers une guerre continuelle et toujours en expansion. 

L’Amérique a passé des lois pour un salaire minimum afin d’élever le niveau de la classe moyenne,  de renforcer les loi anti-trust pour diminuer le pouvoir des corporations. Elle a accru les taxes sur les sociétés et les plus riches. Elle a créé la Sécurité Sociale et est devenue l’employeur de dernier recours à travers des programmes pour construire les infrastructures nationales, promouvoir les arts et replanter les forêts.

Tant que notre Constitution n’est pas changée, nous avons encore le choix.

________________________________________________________________________________

Thom Hartmann lived and worked in Germany during the 1980s, and is the author of over a dozen books, including Unequal Protection and The Last Hours of Ancient Sunlight. This article is copyright by Thom Hartmann, but permission is granted for reprint in print, email, blog, or web media so long as this credit is attached.
 
 
 
 
 

RETOUR SOMMAIRE